J’Aime

Soleam

 

J’aime

J'ai mal la piqure me brûle

J'ai mal même avec cette amertume

Qui monte dans le sang pour brûler nos veines pour donner cette incertitude

 

D'éclore sans confiance en soi

Avec cette petite voix

Artificielle chut

Ingérée par le mal du liquide bleu

 

Bleu comme le ciel des vagues qui se traînent

Bleu comme les veines sans une goutte essentielle

Bleu si bleu que tu te crois éternelle

Bleu comme le rouge de tes yeux

 

J'ai peur quand des frissons s'enivrent

J'ai peur de jamais me souvenir

De cette plaie au réveil

Cette piqûre de veille Le bleuâtre, le verdâtre de ma peau qui sommeille

Ce manque parfois Je ne sais pas pourquoi ça me tente

Irrésistiblement tu me manques

 

Bleu comme le ciel des vagues qui se traînent

Bleu comme les veines sans une goutte essentielle

Bleu si bleu que tu te crois éternelle

Bleu comme le rouge de tes yeux

 

Je pense que mes mélanges me trans(ent)

Je pense que mes tissus se changent

Que cet effet d’optique en te regardant flou, si net qu’on en devient sans tête

Tu as aimé, ça se voit

Mais maintenant je ne vois plus que toi !

Je ne me ressemble pas

 

Bleu comme le ciel des vagues qui se traînent

Bleu comme les veines sans une goutte essentielle

Bleu si bleu que tu te crois éternelle

Bleu comme le rouge de tes yeux

Bleu comme le rouge de tes yeux

Bleu comme le rouge de tes yeux

Bleu comme le rouge de tes yeux